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Eglise de Saint-Joseph
Edifice religieux, Site et monument historiques
à Saint-Joseph
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A la fin de l’année 1874, l’abbé Maillard, curé de la paroisse de Rivière-Blanche, décide de transférer l’église paroissiale de Rivière-Blanche sur un terrain qu’il possède à la Rosière.
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La première chapelle, exiguë, est dans un tel état que sa démolition est déjà prévue. Un arrêté du 2 décembre 1874 ordonne sa fermeture. La nouvelle église est placée, comme la paroisse, sous le vocable de Saint-Joseph le 9 août 1876, après que le pape Pie IX l’ait proclamé patron de l’Eglise Universelle. Bâtie en une vingtaine de jours, elle menace de tomber en ruines dès 1878. Un nouvel édifice est alors construit à l’emplacement actuel et dédié à Saint-Joseph.
Détruit par le cyclone de...La première chapelle, exiguë, est dans un tel état que sa démolition est déjà prévue. Un arrêté du 2 décembre 1874 ordonne sa fermeture. La nouvelle église est placée, comme la paroisse, sous le vocable de Saint-Joseph le 9 août 1876, après que le pape Pie IX l’ait proclamé patron de l’Eglise Universelle. Bâtie en une vingtaine de jours, elle menace de tomber en ruines dès 1878. Un nouvel édifice est alors construit à l’emplacement actuel et dédié à Saint-Joseph.
Détruit par le cyclone de 1891, il est reconstruit à partir de l’année suivante. En 1903, un cyclone emporte la charpente et la toiture de l’église. Une nouvelle reconstruction, de style basilical, est décidée mais c’est un travail de longue haleine, qui mobilise les curés succédant à l’abbé Maillard : les abbés Lambolez, Le Scanvic, Anquetil et enfin Jourdan.
Les deux tours sont ajoutées en 1927, leur taille modeste les préservant des cyclones. Leurs cloches sont installées par l’abbé Lavigne.
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