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Îlet Percé
Îlet
à Sainte-Anne
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L'îlet Percé fait partie de la Réserve Naturelle Nationale des îlets de Sainte-Anne. Il constitue une halte migratoire et un des plus importants sites de reproduction d’oiseaux marins des petites Antilles. Il s'élève à 5 mètres au-dessus du niveau de la mer. Il est percé en son centre ce qui lui vaut son nom.
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De décembre à septembre, cinq espèces d'oiseaux marins migrateurs viennent y trouver refuge comme espace de reproduction. : le Paille en queue ou Phaeton à bec rouge (Phaeton aetherus), la Sterne bridée (Sterna anaethetus), la Sterne fuligineuse (Sterna fuscata), le Noddi brun (Anous stolidus) On peut aussi y retrouver des espèces sédentaires comme le Quiscale merle (Quiscale lugubris).
Au niveau de la végétation, l'îlet a développé la formation de Mabouge ou Capparis Flexuiosa et des...De décembre à septembre, cinq espèces d'oiseaux marins migrateurs viennent y trouver refuge comme espace de reproduction. : le Paille en queue ou Phaeton à bec rouge (Phaeton aetherus), la Sterne bridée (Sterna anaethetus), la Sterne fuligineuse (Sterna fuscata), le Noddi brun (Anous stolidus) On peut aussi y retrouver des espèces sédentaires comme le Quiscale merle (Quiscale lugubris).
Au niveau de la végétation, l'îlet a développé la formation de Mabouge ou Capparis Flexuiosa et des bosquets à Clerodendron aculeatum, espèces absentes sur les autres îlets.
L’accès est interdit dans un périmètre de 100 m autour de l’îlet. Dans un périmètre de 300 m autour de l’îlet, le mouillage à l’ancre est interdit et l’amarrage limité aux 4 bouées.
Un peu de culture :
La Réserve Naturelle Nationale des Îlets de Sainte-Anne, créée en 1995, a été confiée en cogestion au Parc Naturel Régional de la Martinique (PNRM) et à l’Office National des Forêts (ONF). Le PNRM en assure la gestion, la préservation et la valorisation grâce à une équipe de gestion (gardiens de l’environnement, conservateur…).
D’une superficie de 5,7 ha, elle se compose des îlets Burgaux, Hardy, Percé et Poirier, constituant un site de reproduction majeur pour les oiseaux pélagiques marins des Petites Antilles ainsi qu’une halte migratoire pour certaines espèces d’oiseaux.
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